Le domaine Robert-Arnoux existe depuis 1858 à Vosne-Romanée. Pascal Lachaux, Beaunois d'origine, marié avec la fille de Robert Arnoux, est devenu gérant du domaine depuis la mort de ce dernier, il y a 10 ans. « Je suis venu faire les vendanges au domaine il y a de ça 20 ans. J'y ai rencontré ma femme et j'y suis resté », confie Pascal. Il exploite 13 hectares de vignes situés à Vosne-Romanée, Nuits-Saint-Georges, Chambolle-Musigny et au Clos de Vougeot.
Depuis deux ans, extérieur au domaine, Pascal Lachaux à également monté une société de « micro-négoce haut de gamme », comme il se plaît à la nommer. « J'achète avant tout ce qui me fait plaisir et ce qui est bon ». On peut y trouver des richebourgs, du chambertin, du clos-saint-denis et quelques 1ers crus.
Côté vinification, « je vinifie les vins comme je les aime », souligne Pascal. Vinifié en cuves thermo-régulées, le vin est ensuite élevé en fûts de 30 % à 100 % neufs. Vient finalement la mise en bouteille au bout de 16 à 18 mois, sans collage ni filtration.
« Je cherche à faire des vins bien équilibrés, qui soient toujours bons à boire, jeunes ou vieux », explique l'homme et conclut, « nous avons beaucoup de chance de faire un métier qui procure autant de plaisir, d'émotions et de sensations. C'est vraiment quelque chose d'extraordinaire ».
(Damien ANGLADA)
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Détails Domaine
Le domaine Robert-Arnoux existe depuis 1858 à Vosne-Romanée. Pascal Lachaux, Beaunois d'origine, marié avec la fille de Robert Arnoux, est devenu gérant du domaine depuis la mort de ce dernier, il y a 10 ans. « Je suis venu faire les vendanges au domaine il y a de ça 20 ans. J'y ai rencontré ma femme et j'y suis resté », confie Pascal. Il exploite 13 hectares de vignes situés à Vosne-Romanée, Nuits-Saint-Georges, Chambolle-Musigny et au Clos de Vougeot.
Depuis deux ans, extérieur au domaine, Pascal Lachaux à également monté une société de « micro-négoce haut de gamme », comme il se plaît à la nommer. « J'achète avant tout ce qui me fait plaisir et ce qui est bon ». On peut y trouver des richebourgs, du chambertin, du clos-saint-denis et quelques 1ers crus.
Côté vinification, « je vinifie les vins comme je les aime », souligne Pascal. Vinifié en cuves thermo-régulées, le vin est ensuite élevé en fûts de 30 % à 100 % neufs. Vient finalement la mise en bouteille au bout de 16 à 18 mois, sans collage ni filtration.
« Je cherche à faire des vins bien équilibrés, qui soient toujours bons à boire, jeunes ou vieux », explique l'homme et conclut, « nous avons beaucoup de chance de faire un métier qui procure autant de plaisir, d'émotions et de sensations. C'est vraiment quelque chose d'extraordinaire ».
(Damien ANGLADA)