Situé sur le terroir de Barsac à 35 km de Bordeaux, sur la rive gauche de la Garonne, le château de Myrat est un domaine de 30 hectares, dont 22 hectares de vignes et 8 hectares de parc. C'est une ancienne propriété du Duc d'Epernon puis du Seigneur de Cantegril, ce dernier ayant épousé une demoiselle Myrat. En 1937, la propriété fut achetée par le comte Max de Pontac, dont les ancêtres fondèrent le domaine Haut-Brion et inventèrent la notion de "cru".
La mort dans l'âme, après 40 années d'exploitation, Max de Pontac est contraint de faire arracher toutes les vignes de ce cru classé de Sauternes pour cause de mévente. Il n'y a donc pas eu de vin entre 1976 et 1990. Au décès du comte en 1988, ses fils, Xavier et Jacques, ont quelques mois pour prendre la décision de faire renaître la propriété, car les droits de plantation allaient être perdus. Avec une volonté de fer, ils entreprennent de replanter les 22 hectares de vignobles, et font rénover entièrement les chais.
Depuis lors, le Château de Myrat, littéralement ressuscité, n'a cessé de progresser et il est aujourd'hui reconnu comme l'un des plus grands vins liquoreux du Bordelais. Le vignoble s'étend sur un plateau dont le sol est composé d'une fine couche d'argile reposant sur du calcaire, au-dessus d'un socle de calcaire fissuré dit du "Haut-Barsac". Son encépagement est réparti entre 88% de Sémillon, 8% de Sauvignon et 4% de Muscadelle.
Wine Spectator Noté 93/100
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Commentaires du Château
Situé sur le terroir de Barsac à 35 km de Bordeaux, sur la rive gauche de la Garonne, le château de Myrat est un domaine de 30 hectares, dont 22 hectares de vignes et 8 hectares de parc. C'est une ancienne propriété du Duc d'Epernon puis du Seigneur de Cantegril, ce dernier ayant épousé une demoiselle Myrat. En 1937, la propriété fut achetée par le comte Max de Pontac, dont les ancêtres fondèrent le domaine Haut-Brion et inventèrent la notion de "cru".
La mort dans l'âme, après 40 années d'exploitation, Max de Pontac est contraint de faire arracher toutes les vignes de ce cru classé de Sauternes pour cause de mévente. Il n'y a donc pas eu de vin entre 1976 et 1990. Au décès du comte en 1988, ses fils, Xavier et Jacques, ont quelques mois pour prendre la décision de faire renaître la propriété, car les droits de plantation allaient être perdus. Avec une volonté de fer, ils entreprennent de replanter les 22 hectares de vignobles, et font rénover entièrement les chais.
Depuis lors, le Château de Myrat, littéralement ressuscité, n'a cessé de progresser et il est aujourd'hui reconnu comme l'un des plus grands vins liquoreux du Bordelais. Le vignoble s'étend sur un plateau dont le sol est composé d'une fine couche d'argile reposant sur du calcaire, au-dessus d'un socle de calcaire fissuré dit du "Haut-Barsac". Son encépagement est réparti entre 88% de Sémillon, 8% de Sauvignon et 4% de Muscadelle.