Des débuts romanesques pour ce jeune vigneron hors normes, déjà sur de grandes tables et adoubé par des pairs prestigieux.
L'histoire veut que les fées se soient penchées sur lui un verre de Sauternes à la main quand il était adolescent et qu'envoûté par le produit, la vigne soit devenue son unique objet de désir. De rencontres avec des personnes de qualité (Frédéric Porro, Domaine La Marèle), en apprentissage sérieux des fondamentaux en Bourgogne (J-M. Boillot à Pommard), il poursuit son parcours initiatique en engrangeant les bases solides de son futur métier. Ses pas le ramènent tout près de chez lui, à La Boissière où il se jette à l'eau pour sauver d'un meurtre prémédité de vieilles vignes de Carignan et de Cinsault.
L'aventure commence avec 0,7 ha, dit-il, dans un garage loué par une voisine ; Clos Lalfert, vin de garage était né, plus par manque de moyens que par volonté branchée de donner dans le confidentiel. Un vrai vino povera.
En tous cas, avec beaucoup de travail et d'opiniâtreté, il développe son affaire et se retrouve aujourd'hui à la tête de cinq hectares et demi sur LE terroir magique (encore un coup des fées !) d'Aniane, dans une combe bien ventilée. C'est cette fraîcheur que l'on retrouve dans ses vins, estampillés Vin de France, car ses vignes ne sont pas en AOC.
Le style de la maison : travailler la finesse et l'élégance plutôt que la concentration et un élevage en demi-muid (600 l) pour une oxygénation en douceur sans boisé marqué.
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Des débuts romanesques pour ce jeune vigneron hors normes, déjà sur de grandes tables et adoubé par des pairs prestigieux.
L'histoire veut que les fées se soient penchées sur lui un verre de Sauternes à la main quand il était adolescent et qu'envoûté par le produit, la vigne soit devenue son unique objet de désir. De rencontres avec des personnes de qualité (Frédéric Porro, Domaine La Marèle), en apprentissage sérieux des fondamentaux en Bourgogne (J-M. Boillot à Pommard), il poursuit son parcours initiatique en engrangeant les bases solides de son futur métier. Ses pas le ramènent tout près de chez lui, à La Boissière où il se jette à l'eau pour sauver d'un meurtre prémédité de vieilles vignes de Carignan et de Cinsault.
L'aventure commence avec 0,7 ha, dit-il, dans un garage loué par une voisine ; Clos Lalfert, vin de garage était né, plus par manque de moyens que par volonté branchée de donner dans le confidentiel. Un vrai vino povera.
En tous cas, avec beaucoup de travail et d'opiniâtreté, il développe son affaire et se retrouve aujourd'hui à la tête de cinq hectares et demi sur LE terroir magique (encore un coup des fées !) d'Aniane, dans une combe bien ventilée. C'est cette fraîcheur que l'on retrouve dans ses vins, estampillés Vin de France, car ses vignes ne sont pas en AOC.
Le style de la maison : travailler la finesse et l'élégance plutôt que la concentration et un élevage en demi-muid (600 l) pour une oxygénation en douceur sans boisé marqué.